Un Métro de Retard : Shamans

Une semaine sur deux, retrouvez l »une de nos critiques sur un jeu, cette semaine, c’est « Shamans » de chez Studio H qui passe entre nos mains !

Entrez dans les rituels chamaniques !
SHAMANS est un jeu de Cédrick CHABOUSSIT, magnifiquement illustré par Maud CHALMEL. Sorti en 2020 chez Studio H, il est bien accueilli par les critiques mais reste assez peu connu. Jeu de plis à rôles cachés, il se joue de 3 à 5 joueurs.

Ya les bons et les mauvais cha…mans
SHAMANS, c’est la lutte du bien contre le mal, pour empêcher l’univers de sombrer dans le chaos (rien que ça !). Vous serez plusieurs Chamans pour rétablir l’équilibre des mondes sans quoi « l’ombre » gagnera mais attention ! il y a des traitres et de possibles sacrifices de joueurs. Vous évoluerez donc dans un univers mystique pour essayer de deviner qui fait partie des bons ou des mauvais chamans et empêcher (ou aider) l’ombre d’atteindre le zénith de la lune.

SHAMANS ne devrait pas rester dans l’ombre
La partie se joue assez rapidement, de 30 à 45 minutes, et comme chaque partie se compose de 3 manches, on acquiert rapidement la mécanique du jeu, et à la 3ème manche les joueurs sont déjà rodés.

La découverte des éléments est très plaisante avec des jetons épais de qualité, un très beau plateau de jeu et de superbes cartes. Attention tout de même aux couleurs des sept différents mondes qui sont parfois difficilement discernables… Dommage, on aurait bien joué dans la pénombre avec ses magnifiques éléments teintés d’ésotérisme, histoire de coller à l’ambiance.

Le jeu est agréable si tout le monde joue de manière fluide. Il y a évidemment une part de bavardages, d’accusations, de bluff par rapport aux rôles cachés de chacun, mais trop de temps morts font perdre la dynamique de la partie.

C’est pas gentil d’être méchant !
Le joueur qui gagne la partie est celui qui a le plus de point de victoire. Les points de victoires se gagnent principalement en remportant une manche, mais également avec des artefacts ou des déclenchements de rituel.
Les bons chamans remporteront la manche s’ils éliminent le(s) mauvais chaman(s) ou si, une fois toute les cartes posées, le curseur de l’ombre n’a pas atteint l’ombre. Pour les mauvais chamans, c’est l’inverse.

SHAMANS est un jeu de plis, avec une couleur choisie à chaque tour par le 1er joueur et la possibilité de « couper » en mettant une autre couleur. Les cartes jouées restent visibles sur la table et s’ajoutent au monde (à la couleur) auquel elles appartiennent. Mettre de la couleur demandée permets de maintenir le curseur de l’ombre loin de la lune et donc de paraître « innocent » (à tort ou à raison). Couper, parce que l’on ne peut ou que l’on ne veut pas mettre la couleur demandée, fera avancer le curseur vers la lune et donc avantage « l’ombre ».

Lorsqu’une couleur est complétée (6 à 8 cartes par monde, selon le nombre de joueurs), le rituel associé à ce monde se déclenche. Ce peut être le rituel de la couleur demandée, et donc c’est le joueur qui a remporté la manche (plus gros chiffre) qui pourra effectuer ce rituel à la fin du tour ; Ce peut être dans un monde d’une autre couleur, par celui qui a « coupé » avec la dernière carte manquante, et le rituel s’appliquera immédiatement. Les rituels permettent de gagner des points de victoire, des artefacts, d’éliminer un adversaire, de changer de rôle, de reculer le curseur… il y a donc plusieurs objectifs qui entrent en ligne de mire, personnels ou collectifs, qui vont complexifier la stratégie de chacun et l’identification des joueurs.

Crédit Photo : www.gigamic.com

Lorsqu’on joue dans la couleur demandée, la valeur de la carte jouée à son importance : si elle est la plus haute du tour, elle nous permet d’être le premier joueur au tour suivant, et donc de choisir la prochaine couleur (cela peut être un avantage ou pas en fonction de sa main et de son camp) ; si la valeur est la plus basse, on gagne un artefact. Les artefacts peuvent donner des points de victoire supplémentaires, vous permettre d’avancer ou de reculer le curseur de l’ombre, vous donner un poignard qui sera nécessaire pour sacrifier un joueur ou… vous obliger à révéler votre rôle ! À noter également que vous choisissez un artefact parmi trois possibles : deux visibles et un troisième, face cachée. Vous n’êtes pas obligé de le révéler s’il a été pioché face cachée, vous pouvez ainsi gagner des points de victoire en secret ou avoir un poignard et ne pas l’utiliser si vous n’avez aucun avantage à éliminer un autre joueur.

Les rôles cachés avec des objectifs opposés et la possibilité d’échanger ou de découvrir l’identité des autres chamans rappellent le « saboteur », même si les interactions directes avec les autres joueurs sont bien moins fréquentes et moins variées. Il y a tout de même la possibilité d’éliminer quelqu’un d’une manche, parce qu’il n’est pas dans votre camp ou parce qu’il est trop proche de gagner la partie ! Attention aux mauvais joueurs qui ne supportent pas le sabordage de leur stratégie.

C’est l’ombre qui donne à la lumière sa splendeur
Le magnifique design de ce jeu est un grand atout ; c’est ce qui le fait se démarquer dans les rayons et nous a poussé à l’acheter. Pas de regret à être tombé sous les charmes tapageurs de ses cartes ultra-stylisées car le jeu est plaisant et se joue assez rapidement. On enchaîne aisément 2 voire 3 parties même si, bon, on n’y jouera pas toute la nuit non plus.

La difficulté est différente selon le nombre de joueurs. C’est peut-être à 3 joueurs où les chances de remporter une manche sont les plus équilibrées. À quatre joueurs, il y a 3 « gentils » pour une ombre c’est très compliqué de l’emporter pour le mauvais chaman ; à cinq il y a deux ombres qui combattent 3 bons chamans se sont ces derniers qui vont être en difficulté. En revanche le jeu gagne en interactions et la détection des rôles est d’autant plus complexe que le nombre de joueurs augmente.

Nadia

On A Testé Pour Vous : Baldur’s Gate 3

Nous continuons notre retour avec nos articles ! Deux semaines après le « Métro de Retard » consacré à Love Letter, cette fois-ci, c’est notre critique de « jeux récents » qui fait son retour ! Et pour ce retour, nous n’avons pas fait les choses à moitié, se sera bien du dernier « Baldur » dont il sera question dans cet article, alors bonne lecture !

Baldur’s Gate 3 : Le jeu de rôle dont vous rêviez sans le savoir

Et soudain le monde découvrit Donjons et Dragons

C’est en 1999 que la France découvre une des adaptations les plus connues du jeu de rôle sur table Donjons et Dragons en jeu vidéo, avec la sortie du premier opus de Baldur’s Gate. Ce premier volet nous propose de découvrir un univers de fantasy dans sa plus pure tradition : elfes, nains, magiciens et barbares vous accompagnentt dans des quêtes palpitantes à travers la Côte des Épées où se situe la fameuse ville de la Porte de Baldur, théâtre de vos aventures.
Plus de 20 ans plus tard et après la sortie d’un second acte également très apprécié, des rumeurs commencent à se faire entendre sur la création d’un troisième épisode. C’est en 2019 que le développement de Baldur’s Gate 3 est officialisé. Le studio qui va s’atteler à la tâche est Larian Studios. Ce nom vous est probablement inconnu et c’est normal. Petit studio belge créé au début des années 2000, il se fait connaître dans le milieu vidéoludique pour la série des Divinity, jeux très appréciés des amateurs de jeu de rôle.

C’est après six ans de développement et trois ans d’accès anticipé que sort donc Baldur’s Gate 3, le 3 août 2023. Personne n’était prêt à la claque monumentale que le monde du jeu vidéo allait se recevoir. Le jeu connaît un succès retentissant et balaie tout sur son passage. En moins d’un mois plus de 5 millions de copies sont vendues sur la seule plateforme Steam. Toute la presse spécialisée s’embrase et s’accorde pour dire que le jeu est une réussite au-delà de toute espérance. Le studio n’en revient pas lui-même. Le site Metacritic.com annonce une note globale de 96/100. La vague est telle que Baldur’s Gate 3 est en bonne voie pour devenir un standard et une référence dans l’industrie.
Comment expliquer ce succès ? Et surtout, c’est quoi Baldur’s Gate 3 ?

En cheminant vers la Porte de Baldur

Imaginez. Vous êtes un aventurier. Vous vivez votre petite vie tranquille. Quand soudain vous vous faites kidnapper par une race de poulpe de l’espace : les flagelleurs mentaux. Pas de chance, ils sont connus pour implanter des larves parasites dans le cerveau de leurs victimes pour se reproduire. Vous êtes condamné vous aussi à devenir un poulpe si vous ne trouvez pas rapidement une solution pour vous débarrasser de la larve qui est en train de s’installer confortablement dans votre crâne. Vraiment une sale façon de commencer sa journée.
Dans votre aventure, vous serez guidé par une mystérieuse figure qui vous apparaît dans vos rêves et semble vous protéger de la métamorphose imminente en monstre qui vous guette. Savoir si vous devez lui faire confiance sera votre choix.
En chemin, vous allez rencontrer d’autres compagnons, eux aussi infectés par ce satané parasite. Une dizaine de personnages vont ainsi pouvoir rejoindre votre équipe, si vous arrivez à les recruter ou bien sûr si vous ne choisissiez pas de les assassiner sur un malentendu. Il est assez tentant de planter un pieu dans le cœur de ce pauvre elfe, ramassé au bord du chemin, quand il s’avère être un vampire et que vous le surprenez en train d’essayer de vous sucer le sang en pleine nuit. Chacun de vos compagnons vous est livré avec sa propre histoire, motivations, quête personnelle et il vous faudra gagner son approbation pour qu’il vous fasse confiance. L’écriture des personnages est clairement un des points très fort du jeu. Ils sont touchants, drôles, tragiques et on se surprend à sourire ou pleurer avec eux. Vous pourrez entre autres vous lier d’amitié avec Gale, un mage de Waterdeep, Astarion, un elfe au sens de l’humour aussi acéré que ses dents, Karlach, une tiefling barbare au grand cœur ou encore Wyll, un humain et héros local. L’amour n’est pas en reste. Vous pourrez développer une relation amoureuse avec plusieurs de ces personnages et tenter de gagner leur affection si le cœur vous en dit.
Attention cependant, le jeu est clairement conçu pour des adultes et certaines scènes peuvent être relativement explicites. Gardez cela à l’esprit car il peut s’avérer assez visuel tant dans la violence que dans la sensualité. Baldur’s Gate 3 est clairement classé en PEGI 18 et à juste titre. Pensez à vérifier vos options concernant la nudité si vous ne voulez pas être pris par surprise.

La force de votre aventure sur Baldur’s Gate 3 est qu’elle n’appartient qu’à vous. Je pourrai vous raconter que, par accident, j’ai transformé toute mon équipe en chat en plein combat à cause des effets secondaires d’un sort. Je pourrai vous raconter que j’ai malencontreusement fini en prison pour avoir fait exploser un bâtiment plein de cultistes parce que les gardes n’ont pas trop apprécié ma démarche pourtant tout à fait légitime. Je pourrai vous raconter que sur une partie en multijoueurs, humble paladin, j’ai dû convaincre mes camarades de ne pas tabasser des enfants pauvres qui venaient de leur faire les poches. Je pourrai vous raconter tout ça, mais ça n’aurait aucun intérêt. Votre aventure sera la vôtre et ne déroulera probablement pas comme la mienne. Le jeu s’adapte en permanence à vos choix (même les plus stupides) et prend en compte dans sa narration la race et la classe de votre personnage.
Baldur’s Gate 3 possède donc naturellement plusieurs fins, des milliers de variations disponibles dans son histoire (17 000 selon les développeurs). Les possibilités de rejouabilité sont impressionnantes et chaque nouvelle partie emmène son lot de découvertes.
Le scénario est riche, très bien écrit, plein de rebondissements et vous pousse sans cesse à être curieux et à jouer votre personnage tel que vous le souhaitez. À vous de tracer votre route, qu’elle soit bonne ou mauvaise, complètement chaotique ou droite comme la justice.

Jets de dés, initiatives et échec critique

Pour comprendre le succès, il faut comprendre la genèse du projet. Larian Studios est un studio belge, complètement indépendant, dirigé par un passionné : Swen Vincke. Le studio a choisi de ne rendre compte qu’à ses joueurs. Ce sont eux qui ont aidé à financer le projet en faisant confiance aux équipes qui ont choisi de sortir une version du jeu en accès anticipé en 2020 pour présenter le projet et faire appel à la confiance des joueurs. Le public a été séduit par la qualité du travail proposé et plus de 2 millions de copies se sont vendues et ont permis au studio de développer le jeu selon leurs exigences. C’est un jeu fait par des passionnés, pour des passionnés. Baldur’s Gate 3 s’impose comme un titan du CRPG (jeu de rôle sur ordinateur). Ici, ce sont les règles de Donjons et Dragons (5e édition) qui vont guider votre aventure. Armés de vos dés 20, vous et vos compétences seront mises à rude épreuve, pour le meilleur et pour le pire (oui, je pense à toi l’échec critique qui tombe au moment de désamorcer un piège mortel). Les combats se font en tour par tour et devront faire appel aux talents des 4 personnages présents dans votre équipe pour en sortir victorieux. Le jeu se joue en solo où vous contrôlez vous-mêmes votre équipe, mais aussi en multi-joueurs jusqu’à 4 personnes.

Les connaisseurs de DnD (Donjons et Dragons) prendront facilement leurs marques en retrouvant un grand nombre de classes et de races du jeu de rôle sur table. À vous les joies d’incarner un nain guerrier ou un elfe druide. Bien que je vous conseille de jouer barde. Tout le monde sait que les bardes sont les meilleurs (je joue barde). Si connaître les règles de DnD va vous faciliter la tâche, vous serez guidé pas à pas pour vous faire découvrir le système de jeu qui peut s’avérer très impressionnant au premier abord. Prenez votre temps pour bien lire les explications, vos compétences et autres sorts qui peuvent paraître obscurs à la découverte du système de jeu. N’ayez pas peur d’expérimenter et de vous tromper. Et rappelez-vous que n’importe quel combat ne fait pas le poids face à quelques barils d’explosif.

Pour conclure sur une note personnelle : j’ai bien évidemment adoré le jeu. C’était le jeu de rôle sur ordinateur que j’attendais sans le savoir depuis toutes ces années. Il a fait vibrer mon cœur de rôliste, me redonnant un élan pour le jeu de rôle sur table et me rappelant pourquoi j’avais aimé jouer toutes ces années. J’ai tremblé en prenant certaines décisions, j’ai pleuré en voyant les conséquences d’un choix que j’avais fait 40h plus tôt, j’ai souri quand un de mes compagnons m’a déclaré sa flamme sous un ciel étoilé. Baldur’s Gate 3 représente tout ce que j’aime dans le jeu de rôle et il m’aura marqué, comme tant d’autres joueurs, devenant une œuvre essentielle et mémorable dans mon parcours vidéoludique, par son intensité et sa dévotion à vous faire vivre une aventure qui vous appartiendra.
Baldur’s Gate 3 est disponible sur PC, Mac, Playstation 5 et prochainement sur Xbox.

Lise Bouilleux

Un Métro de Retard – Love Letter « Batman Edition »

Oh bigre ! Nous sommes de retours sur les internets avec nos chroniques, cette semaine, nous vous proposons un petit retour sur un jeu bien connu, mais aevc une licence qui le rend… hummmm ! Alors, « n’avez-vous jamsi dansés avec le Diable au clair de lune ? »

Du palais royal à Arkham

Créé en 2012 par le japonais Seiji Kanai et éditée par Alderac Entertainment Group, Love Letter est un jeu minimaliste composé seulement de 16 cartes représentant des personnages avec des capacités spéciales qui permettent peu à peu de deviner le jeu des autres joueurs.

Cette édition, assez rare sur le marché, sortie en 2015, nous emmène dans l’univers de Batman.

Pourquoi cet air si sérieux ?” – Le Joker

Love Letter, Batman édition est un jeu de cartes aux règles simples qui offre des parties rapides et pleines de rebondissements.

La licence Batman, très connue, nous offre la possibilité de jouer avec les héros et les vilains contrairement à l’édition de base où l’on incarnait prince et princesse. Ici le plus fort est le Joker, enfin si vous arrivez jusqu’au bout de la manche…

“Je suis Batman !” – Batman

C’est une phrase qu’on rêve de dire mais pas dans ce jeu… Nous sommes plutôt des détectives où chaque joueur cache bien son jeu. Avec une carte en main et une carte active, les manches sont très rapides mais l’élimination aussi. Les effets des cartes sont très puissants et permettent l’accélération du jeu. Donc même si la carte “Batman” a la valeur la plus basse de 1, vous pouvez quand même remporter un point de victoire en éliminant une carte “vilain” en la démasquant.

HahaHahaHah !” – rire du Joker

On rigole beaucoup avec ce Love Letter mais la frustration y est très présente.

L’aléatoire des cartes fait que l’on peut très souvent être éliminé des manches et ne pas remporter de points de victoire symbolisée par les très jolies jetons batman, sachant qu’il faut en comptabilisé 7 pour remporter la partie.

Pour notre première partie, nous étions 3 joueurs mais c’est à 4 qu’il y a le plus de fun.

“Parce qu’il est le héro que Gotham mérite” – Commissaire Gordon

C’est un jeu de cartes amusant, facile à transporter avec de très belles  illustrations, un petit sac de rangement en velours comme dans la version originale sans oublier les jetons en bois à l’effigie du Bat Signal.

On prend vraiment du plaisir à jouer les différents personnages et plusieurs combinaisons sont possibles pour amasser les points de victoires.

Les règles sont très basique en faisant un jeu simple, rapide et abordable pour toute la famille.

Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser le rôle du méchant” – Harvey Dent

Sur ce type de jeu, la routine s’installe très vite et l’aléatoire des cartes fait que la chance prend une part importante dans la résolution des manches.

Le fait de pouvoir être éliminé lors du premier tour d’une manche peut devenir très frustrant surtout si les éliminations s’enchaînent et que l’on voit les autres joueurs cumuler les points de victoire. Moins il y a de joueurs et moins il y a de fun.

De plus le jeu n’existe qu’en version anglaise et  n’a pas de traduction en français ce qui peut être un frein pour certain malgré les cartes aides de jeu malheureusement en anglais également.

Pour conclure, nous pouvons dire que Love Letter, Batman Edition, est un jeu simpliste et rapide et que la franchise Batman y est pour beaucoup afin que ce jeu entre dans votre collection. La version originale est identique en terme de mécanique de jeu et vous la trouverez plus facilement à la vente pour un budget abordable.

Nono

A Quoi Qu’on Joue ? #47 – Bertrand du groupe Showgun – Avril 2023

« A Quoi Qu’on Joue ? » est notre émission de radio mensuelle sur BacFm ! Tous les mois, retrouvez l’actualité ludique du Conservatoire du Jeu, mais également un invité en interview ! Pour cette émission du mois d’Avril 2023, je reçois Bertrand du groupe Showguns qui vient nous parler de son prochain album et de sa tournée accoustique. Deux morceaux joués en live durant l’émisssion !

A Quoi Qu’on Joue ? #45 – Camille & Erwan – Février 2023

« A Quoi Qu’on Joue ? » est notre émission de radio mensuelle sur BacFm ! Tous les mois, retrouvez l’actualité ludique du Conservatoire du Jeu, mais également un invité en interview ! Pour cette émission du mois de Février 2023, je reçois Camille & Erwan qui vient nous parler de l’ouverture de leur bar à jeux « Ludique & Ludic » à Nevers.